Mettons les points sur les I

Mika : (Toc toc toc)
Aruna : Allo, il y a quelqu’un ?
Mika : (Toc toc toc)
Aruna :Vous m’entendez ?
Mika : (Toc toc toc)
Aruna :Vous pensez à notre futur ?
Mika : (Toc toc toc)
Aruna :Ou juste à vous aujourd’hui ?
Mika : (… Toc toc toc toc toc)
(Porte qui s’ouvre en grinçant + door closing)

Un tas de questionnements permettant l’ouverture sur notre vie d’aujourd’hui

On écoute, on regarde des vidéos, puis on lit des posts, mais quoi ?
Nous commentons, nous partageons et aimons, mais quoi d’autre ?
Est-ce que vous avez déjà réussi à faire des liens sur ce qui est dit ?
Comprendre l’enjeu et la finalité de ce holdup-up planétaire est-il possible pour vous?

Un retour en arrière, afin de permettre la compréhension

Bon revenons en arrière et recollons les pièces du puzzle (rewind)

Aruna : Papa, l’effondrement, c’est maintenant ?

4 septembre 2018 – l’effondrement- notre planète est en danger

Le 4 Septembre 2018 l’effondrement, notre planète est en danger (2.02mn – 5.20).

La population, qui a augmenté de 350% en moins de 70 ans, nous a fait passer de 2 à 7 milliards en un claquement de doigts.
–      La population urbaine qui a pris le même chemin.
–      Le PIB mondial qui nous fait voir sa pointe vertigineuse.
–      La consommation d’énergie primaire, comme par exemple le pétrole, l’uranium, qui suit la même courbe.
–      La consommation de fertilisants ,qui étaient pratiquement inexistants en 1950 est passée de 1 000 000 de tonnes par an, à près de 180 000 000  tonnes / an en 70 ans.
–      L’utilisation d’eau qui était aux alentours de 1200 km3 par an en 1950 a atteint plus de 4 000 km3 par an, soit 4 000 000 000 000 de litres d’eau (4 mille milliards).

Ce qui n’existait pas en 1950 :

Mais on peut aussi voir la même chose pour tout ce qui n’existait pas en 1950 et qui suit cette même expansion vertigineuse comme :

–      La production de papier
–      Les véhicules motorisés
–      Les téléphones
–      Le tourisme international

A ça, toujours d’après les travaux de Will Steffen, s’ajoutent les tendances du système terre.
Voilà ce que ça donne :
–      La concentration de CO2 qui montre le même pic
–      La température de surface
–      L’acidification des océans
–      La dégradation de la biosphère terrestre
–      La perte des forêts tropicales
–      Et la capture des poissons avec des chiffres de près de 75 millions de tonnes par an, soit 205 000 tonnes par jour, ce qui fait plus de 2,5 tonnes par seconde, juste pour 5 minutes de “plaisir gustatif”.


–      Pour la viande, en France seulement, d’après le site Viande info de l’association L214, on tue plus d’un milliard d’animaux par an, soit en moyenne 1900 animaux par minute.
–      Et dans le monde, d’après une étude de Planetoscope, c’est 140 milliards d’animaux  par an, soit à peu près 4400 par seconde.

–      Les chiffres en prévision pour 2050, si on ne change rien à nos habitudes, sont estimés à 463 milliards d’animaux abattus par an, ce qui fera presque 15 000 animaux tués par seconde.

Personnellement, je remercie le ciel de ne pas être né, poisson, bœuf, cochon, ou poulet…

 Quelle solution pour ne pas dépasser les limites ?

Personne n’en sait vraiment rien, tout est en analyse constante, car ce que nous vivons actuellement n’a encore jamais existé depuis que l’humain existe.
Cependant, en ayant consommé 80% des ressources de la planète en 150 ans seulement, il n’y a pas besoin d’avoir fait bac +5 pour comprendre que la limite, c’est MAINTENANT !
On consomme de trop, on tue des animaux pour 5 minutes de plaisir gustatif, on est comme ces cellules cancéreuses qui prolifèrent, détruisant tout sans se soucier de leur propre autodestruction.

Nous avons atteint la limite

Vous vous rappelez quand je vous demande “quand atteindrez-vous votre limite?” et que je dis que la limite, pour moi, c’est maintenant. Et bien, dites-vous juste que si un mec comme moi, qui n’est rien d’autre qu’un citoyen lambda, peut comprendre ça, alors c’est que ceux qui dirigent et contrôlent le monde le savent depuis que les courbes ont commencé à augmenter, c’est-à-dire en 1950…

Mais au fait de quelle limite parle-t-on ?

  •  Limite des ressources ?
  • Les limites du bien-être ?
  • Limite de places sur terre pour les humains ?
  • Ou encore les limites démographiques ?

Un surpopulation- un mensonge.

Je voudrais tout de même revenir sur un autre mensonge planétaire qui tend à culpabiliser le peuple de la même manière qu’on le culpabilise encore aujourd’hui pour la pandémie imaginaire.
Ce mensonge est celui qui dit que nous sommes de trop sur terre. Alors je voudrais juste faire une nuance qui est de taille.

Nous ne sommes pas de trop sur terre. Par contre, si l’ensemble des habitants de la planète terre continue à se comporter et vivre tel que nous vivons actuellement, alors oui, nous sommes de trop.

Aruna : Pourquoi papa ?
Parce qu’en fonction de nos manières de vivre et de consommer à outrance, nous utilisons plus de ressources que la terre ne peut recycler.
En fait, nous épuisons les ressources de la terre, et elle n’a pas le temps d’en créer à nouveau. En d’autres termes, nous pourrions être 4 fois plus sur terre si nous vivions en mode frugalité.
Ça ne veut pas dire vivre pauvrement mais vivre simplement en prenant soin d’amener le plus possible par exemple nos objets en fin de vie, en les recyclant, en les réparant.

Un changement de mode de vie que personne ne veut mettre en place

Mais bon, ça c’est le côté idyllique et féerique de l’histoire.
Le vrai côté, c’est que personne ne veut vraiment changer aujourd’hui donc devant un précipice, des mesures drastiques sont mises en œuvre pour contrôler et réduire nos comportements délirants en vue de préserver le pouvoir en place…

Aruna : Et donc, c’est quoi le lien avec « la pandémie » ?
Mika : Et bien, nous y arrivons, un peu de patience !

19 septembre 2018 : Mr Le président, notre planète est en danger.

Le 19 Septembre 2018 Mr le président notre planète est en danger. (11.22 – 13.30)

Ce que je demande au nom de tous ceux qui comme moi pensent la même chose mais peut être en silence, c’est que vous repreniez vos responsabilités vis-à-vis du peuple qui est le vôtre.
Et que vous fassiez passer le problème du changement du climat, de l’effondrement systémique, de l’exploitation des animaux mais aussi des enfants, des femmes, des populations défavorisées pour le compte du capitalisme, de la préservation de la biodiversité, d’un développement sociétal durable et écologique, en priorité devant l’économie, la finance, la croissance des lobbies qui font pression.
Car tout ceci disparaitra, si on ne fait rien.

Je vous invite à ne pas lâcher, jamais, car à chaque fois que vous baissez les bras, c’est votre accord pour la fin de notre humanité, aujourd’hui, demain ou dans quelques décennies que vous donnez.

D’après Yves Cochet , effondrement en 3 phases :

Et d’après Yves Cochet, ancien ministre de l’environnement, cet effondrement global est bien plus proche que nous le pensons. Il le prédit en 3 phases. Et voilà ce que ça donne à quelques années près :
– 2020 – 2030 : effondrement des sociétés
– 2030 – 2040 : la période de survie
– 2040 -2050 : la période de la renaissance.
Et dans le plus optimiste des scénarios, disons que cela ne se passe pas ainsi ou un peu plus tard, cela n’enlève en rien la question éthique de nos actions à l’encontre de la planète et de l’humanité tout entière.

Nous, peuples du monde, Nous sommes la clé, la non-violence est notre boussole et l’action est notre salut. La solution ne viendra pas d’en haut mais de nous, simples habitants de cette planète qui est notre Terre-mère, le vaisseau de l’humanité.

Effondrement, maintenant !

Aruna : Donc l’effondrement, c’est maintenant ?
Mika : Oui, c’est bien ça ! Mais absolument pas à cause d’un problème sanitaire ! Les dirigeants de ce monde, je ne parle pas de nos présidents qui ne sont que des marionnettes, mais de ceux qui se trouvent à un niveau bien plus haut, ne peuvent pas prendre le risque de voir leur pouvoir disparaitre. Car s’il n’y a plus de ressources sur terre, ils disparaissent avec nous.
Si le système s’effondre de lui-même, ils disparaissent avec nous.
La meilleure défense étant l’attaque, alors la meilleure stratégie, c’est de contrôler l’effondrement plutôt que de le subir. 
Il s’agit donc de faire s’effondrer l’économie mondiale, qui est en fait, la source de nos problèmes.

Un début en 1950

La courbe démarre en 1950 avec le début de l’ère industrielle, le début de l’ère de la consommation pour le plaisir et non pour des besoins vitaux. Nous sommes devenus des êtres-objets.
La philosophie a laissé la place à l’objetologie, vous savez! c’est ne penser qu’à l’avoir plutôt qu’à l’être.

Nos vies sont devenues une quête de la survie, une course après l’argent, la recherche constante du bien-être matériel.
Et ne vous blâmez pas ! Car nous avons été éduqués ainsi, nous avons été conditionnés pour ça.

Par contre, ne rentrez pas dans cet espace de victimisation en disant : ben oui, nous avons appris à vivre comme ça et pas autrement, donc ce n’est pas de notre faute et on ne peut rien y changer, c’est comme ça !
Non, c’est sûr ! Nous ne sommes pas fautifs tant que nous ne le savons pas.
Mais à partir de maintenant pour ceux qui ne le savaient pas, cela devient un choix conscient.
Cela nous demande de revisiter entièrement nos modes de vie.

Nous devons nous réinventer, créer d’autres visions du monde.
Oui, ma fille et c’est bien tout l’enjeu de notre histoire aujourd’hui : L’humanité doit accoucher d’elle-même et se réinventer.

Interview, appel à la conscience

Benjamin :   « Je pense qu’il faut faire le deuil d’un mode de fonctionnement collectif qui aujourd’hui n’a plus d’avenir et commencer à se préparer au prochain mode de fonctionnement. Le prochain mode de fonctionnement serait basé sur un fonctionnement de conscience, de connaissance et avec de la compassion. A défaut d’un fonctionnement inconscient, dans l’ignorance et sans compassion. »

Mika : « Ce qui est important à retenir ce sont les mots conscience, connaissance et compassion. En d’autres termes, il faut avoir une ouverture d’esprit et ne plus être dans le déni.

Benjamin : « Prendre conscience de soi, être conscient de nos mécanismes intérieurs, inconscients, de la réalité autour de nous. La conscience est égale à la connaissance de soi et de notre fond inconscient pour pouvoir agir en conscience et devenir créateur de notre vie. »

Mika : « La connaissance, c’est s’informer correctement ? »

Benjamin : « La connaissance dont on a besoin, c’est celle que nous avons apprise a l’école, car l’école nous a programmés pour être des travailleurs-consommateurs, et non pour remettre les choses en question, ni pour être créateur. Là, c’est acquérir les connaissances dont on a besoin pour comprendre les mécanismes en cour et pouvoir faire des choix conscients et aviser, permettant des changements bénéfiques à la personne et à son entourage ».

Nous sommes tous sur le même bateau

Mika:  « La compassion permet de pouvoir avancer collectivement ? Comprendre que l’on est tous sur le même bateau à ce moment-là ? »

Benjamin : « Oui. Mais c’est surtout la compassion envers soi-même, car la mise en lumière de certains mécanismes inconscients peut devenir une auto-négation et de la haine, en se disant : “comment est-ce que j’ai pu être aussi aveugle?”
La première compassion est alors celle que l’on a envers soi-même, puis la deuxième envers les autres. Puisque finalement on a tous essayé de faire de notre mieux, mais on n’a pas pris les bonnes décisions, car on n’avait pas les connaissances nécessaires, ni la compassion nécessaire pour prendre les bonnes décisions. »

Mika : « On a quand même tous participé, tous à 100% , même toi qui nous regardes là maintenant, on a tous participé jour après jour à ce qui nous arrive aujourd’hui, nous sommes alors responsables ».

Benjamin : « Oui, nous sommes co-responsables de la situation que l’on a créée, mais cela veut dire que nous sommes également co-responsables des changements que nous allons faire pour éviter que cela arrive à un point de rupture potentiellement catastrophique pour tout le monde. »

Mika : « Cela veut dire que tout le monde peut agir pour changer de navire. »

Benjamin : « Tout à fait, la société a été programmée par l’humain. Ce que l’on a oublié dans notre processus, c’est que l’on avait perdu le contrôle et que c’était la société qui programmait l’humain, on doit reprendre conscience de nos pouvoirs créateurs et regarder dans nos programmes ce qui ne fonctionne plus, pour pouvoir les objecter. »

27/05/2019 Interview NWT 31,46 – 34,59

Un peuple nombreux, un danger pour les dirigeants

Comprenez que plus nous sommes nombreux, plus nous devenons des ennemis dangereux pour les dirigeants de notre monde. Car si un jour nous nous révoltons, ils disparaîtront.

Je vous donne quelques exemples très simples.
Si nous décidons de ne plus utiliser l’euro ou le dollar et que du jour au lendemain nous décidons nous, peuples du monde, entrepreneurs et petits commerçants de créer notre propre monnaie d’échange en ne faisant plus cas de leur argent, les grandes surfaces feront l’aumône, les banquiers seront en retraite anticipée et leur système économique s’arrêtera. Mais le plus important, c’est que leur moyen de pression sur le peuple s’effritera de lui-même car aujourd’hui il y a deux peurs qui règnent sur terre :

  • celle de mourir
  • celle de ne plus avoir d’argent

Elle paralyse et influence nos choix et nos actions

Nous avons besoin d’être nombreux à prendre le même chemin, malgré nos séparations dues au confinement planétaire, aux distanciations sociales et à l’arrêt des voyages dans le monde.

Je vous rappelle l’histoire des juifs pendant la guerre ou durant l’époque des esclavages. Ils étaient des millions pour quelques soldats. La peur paralyse les actions. Alors, sous l’emprise de la peur, la soumission aux lois devient un acte naturel.
Mais il n’y a rien de moins naturel pour un être humain que de respecter des lois, qui ne sont pas des lois de la nature.
Et toutes nos lois sociétales sans aucune exception ne sont pas des lois naturelles.

Je répète : toutes nos lois sociétales sans aucune exception ne sont pas des lois naturelles.

Nous ne sommes pas libres de nos choix mais nous pouvons le devenir

Rappelez-vous de vos rêves d’enfant quand vous étiez libres de penser.
Si personne ne respecte les lois, alors les lois ne servent plus à rien.

Prenez juste conscience que ce n’est pas nous qui avons créé les lois, mais ceux qui nous dirigent. Et pour la plupart d’entre elles, pour ne pas dires toutes, elles ont été prises sans notre consentement.

A t-on fait un vote pour le confinement et le reconfinement ?
A t-on demandé aux personnes âgées (la majorité qui meurt du covid), si elles ne préféraient pas vivre moins longtemps mais en paix avec leurs enfants et leurs petits enfants, plutôt que de rallonger leur vie artificiellement de quelques jours, semaines ou mois dans le stress, la peur, les hôpitaux et les éloigner de ceux qu’elles aiment?
C’est quoi qui les tue vraiment, la maladie ou la solitude ?
A t-on demandé aux parents leur avis quant au port du masque pour LEURS enfants ?
Vous rendez-vous compte que les états décident aussi de la manière dont vous devez éduquer et informer vos propres enfants ? Etes-vous ok avec ça ?

Reprendre nos libertés est nécéssaire pour ne pas tomber en dictature mondiale

Pas plus tard qu’il y a 3 jours, l’école de ma fille nous a contactés pour permettre aux enfants de retourner en classe, mais avec les protocoles COVID. Je ne leur ai pas demandé leur avis, je leur ai simplement écrit que : « tant qu’il y aura des protocoles COVID comme le port du masque et la distanciation sociale, ce sera catégoriquement NON, ma fille ne retournera pas en cours. »

D’autres parents ont agi de la même manière et ils se retrouvent seuls à assurer les cours en lien avec les profs, à leurs enfants. La nouvelle règlementation ne sert donc plus à rien. Et tout cela se passe dans la bienveillance et la détermination. C’est nous qui avons décidé pour nos enfants et ils n’ont plus que le choix de se plier à nos décisions.

Mais encore, nous a t-on réunis pour que nous puissions décider ensemble de la manière dont nous voulions gérer la pandémie sur le plan sanitaire, individuellement et collectivement ?
Non, pour des enfants de maternelle, les décisions sont imposées avec comme seule réponse aux questions du «Pourquoi agissez-vous ainsi ?» ou « Pourquoi tant d’incohérence ? », le fameux : parce que c’est comme ça !

A nous de décider du futur

Aruna : Mais alors, le futur est déjà écrit ?
Mika : Ce n’est pas le futur qui est écrit, mais le présent nous montre que ce qui a été décidé dans le passé voit le jour, cependant c’est à nous de décider la route que nous voulons prendre pour demain. Et donc, nos actions et non-actions d’aujourd’hui la dessineront. En d’autres termes, nous serons responsables de ce qui adviendra demain si nous n’agissons pas de manière individuelle et collective.

Un deuxième appel à la conscience :

27/05/2019 ITW NWT 12.30 – 15h27

Mika : « Il est annoncé qu’en 2022 il y a une potentielle crise économique majeure global. En 2030, ça pourrait être le déclin, l’effondrement, le pic. En 2040, ceci pourrait être une période de survie où c’est chacun pour soi puis en 2050, cela pourrait être une période de renouveau pour relancer un nouvel ordre mondial ou une nouvelle humanité.
Est-ce que l’on a les moyens psychologiques, spirituels, financiers et collectifs, pour affronter ce genre de crise, d’effondrement mondial, de survie aujourd’hui ? »

Benjamin : « On est dans l’ordre du complètement imprévisible. Oui si on n’arrive pas à changer de direction à temps et qu’on en arrive à un effondrement systémique tout un tas de scénarios peut arriver. L’un des problème que ça pose, c’est le retour dans la survie et la peur, le chacun pour soi. »

Mika : « ça émerge déjà, on appelle ça le survivalisme. »

Benjamin : « Oui, ce sont des gens qui pensent que l’on ne peut pas changer de trajectoire, donc ils se préparent au pire. Nous on sait que l’on peut changer de trajectoire puisque nous sommes créateurs de nos expériences et donc nous pouvons éviter l’effondrement et faire une transition. Maintenant est-ce que nous allons le faire ? Ce n’est pas sûr, ça va dépendre de nos choix collectifs. »

Mika : « Quand on parle d’effondrement, on ne parle pas de fin de l’humanité, mais du moment où l’état ou les états ne peuvent plus assurer la sécurité des citoyens. »

Benjamin : « Oui c’est le moment où le système ne peut plus fonctionner. On arriverait dans une situation chaotique et anarchique. »

Les adultes d’aujourd’hui

Aruna : Mais comment, vous les adultes, n’avez-vous rien vu arriver ?

Mika : L’adulte du 21ème siècle a une grande faiblesse. Sa conscience et sa concentration sont absorbées du matin au soir.

Ça a commencé dans les années 50 avec la TV, la radio, puis les jeux télévisés, les téléréalités, puis l’arrivée des réseaux sociaux et de jeux les plus stupides les uns que les autres. Cette absorption journalière détruit les capacités de réflexion et d’analyse, et isole l’individu. Le meilleur moyen d’agir en toute sécurité, c’est quand l’ennemi n’est pas présent ou quand il est immobilisé.

Vous allez faire quoi les 20 premières secondes ?

  • Premièrement, en vivant dans des mondes virtuels, la réalité peut être transformée à souhait par ceux qui n’y sont pas.
  • Deuxièmement, en habituant son mental à réagir, il n’agit plus dans le réel. Le monde est entré dans une addiction lente mais pernicieuse. Et nous en voyons les résultats aujourd’hui.

Les vidéos de grande diversion et la muselière du 21 ème siècle ont totalisé sur tous les réseaux plus de 4 millions de vues, mais je n’aurai pas à mes côtés 4 millions de personnes prêtes à transformer leurs vies pour créer le futur de demain. C’est-à-dire à refuser catégoriquement sans aucune exception l’ensemble des mesures qui nous sont dictées et se positionner en 1ère ligne.

Donc, les adultes n’ont pas vu venir ce qui arrive car ils étaient absorbés ailleurs. Et le “ailleurs” où ils étaient depuis des années aujourd’hui leur refuse de diffuser la réalité du monde.
Aujourd’hui, l’ennemi ne se cache plus car il est acculé.

” Nous sommes en guerre”

Aruna : Je t’entends souvent dire que nous sommes en guerre. De quelle guerre s’agit-il ?

Mika : Il s’agit d’une guerre psychologique, énergétique et surtout économique. Car la véritable crise et le véritable objectif de cette propagande mondiale, c’est bien cela, c’est la destruction de l’économie mondiale, et surtout de la classe moyenne.

Regardez. Il y a plus de morts de commerçants que de malades du covid.
L’économie touristique dans le monde d’après les dernières projections de l’OCDE, l’organisation de coopération et de développement économique atteint les -80%. Je vous mets des images de Bali là où j’habite depuis 1990 pour que vous compreniez ce que veut dire -80%.

En France, en Europe, et d’autres pays du monde, tous les petits commerçants, les auto-entrepreneurs et tout ce qui est lié à la culture sont à l’arrêt.
Nous sommes dans une guerre économique violente et ceux qui sont visés en premier, ce sont les classes pauvres et les classes moyennes. Nous le voyons aussi dans les mesures prises en France par exemple, autorisant l’ouverture des grandes surfaces et fermant les petits commerces.

Ce qui est incroyable, c’est que ces mêmes mesures sont répliquées partout dans le monde.
Je n’ai personnellement jamais vu notre monde prendre des décisions politiques de manière aussi globale et coordonnée. Comme si des anges étaient venus harmoniser les décisions de nos politiciens. Comme s’il pensaient et parlaient, tous synchronisés sur la même fréquence vibratoire. La 528hz, celle de l’amour du peuple et de leurs concitoyens ! (Celle de la terre avec laquelle nous devrions nous syntoniser est de 432 hz !)

Une logique sans faille

Et la machine continue. Nous sommes dans une logique sans faille. Je le répète encore et encore depuis
plusieurs années et de plus en plus depuis les 8 derniers mois. La machine continue pendant que tout le monde se tourne vers la pseudo pandémie et le pseudo risque sanitaire, pendant que les états vous culpabilisent en disant que la seconde vague est due à votre négligence au lieu de dire que depuis des décennies, ils ont supprimé les lits des hôpitaux et retiré le budget à la médecine.
S’il y avait des dizaines de milliers de lits en plus, davantage d’hôpitaux et d’aides- soignants, les hôpitaux ne seraient pas submergés. Il n’y aurait pas de panique pour accueillir ceux qui toussent ou les personnes âgées en phase terminale. Redonnons à César ce qui appartient à César.

Pendant ce temps-là, le Grand Reset s’installe pour devenir une réalité. L’année dernière, j’en parlais en juin, je l’affirmais, mais avec quand même un léger doute.

Le 10 juin 2020 , le grand reset

Une annonce officielle

Aujourd’hui, c’est une réalité et c’est officiellement annoncé dans les journaux.
Voir les articles :

BCE : l’opération est lancée

Un sommet unique pour commencer

C’est aussi largement diffusé par les vidéos de propagande. Ici celle du WEF world économico forum que je vous ai traduite en Français.

Le Grand Reset, un monde différent d’aujourd’hui

Aruna : Papa, c’est quoi exactement le Grand Reset ? C’est la fin du monde ?

Mika : NON, ce ne sera pas la fin du monde, loin de là, cela peut être meilleur ou pire, ou simplement différent, mais les équilibres dans lesquels nous avons grandi, vécu depuis plus de 50 ans, seront évidemment radicalement changés. Il y aura, comme à chaque fois, de nombreux grands perdants et de grands gagnants, sans doute plus rares !

Cela bouleversera forcement nos vies. Le Grand Reset sera économique et transformera notre manière de consommer, d’acheter et d’échanger.  Il sera monétaire avec la digitalisation de la monnaie, fini le travail au black et le cash ! Il sévira aussi sur les droits de propriété qui vont petit à petit être supprimés pour être remplacés par des droits de location. D’ailleurs, pour ceux qui n’auraient pas encore ouvert les yeux dessus, regardez ce que vous louez actuellement, la musique est en location, les films, les vélos, les trottinettes, les voitures et très bientôt les maisons.

Une société de locataires – une société d’esclaves

Sachez cependant qu’une société de locataires est une société d’esclaves tributaires des organismes prêteurs, à moins que ceux-ci appartiennent à tous !!
D’autant plus que si vous ne contrôlez pas vos comptes avec l’argent électronique, virtuel, sachez qu’une simple pression sur une touche pourra vous bloquer l’accès à votre argent.

Le Grand Reset, le remplacement des idées

Le Grand Reset, c’est aussi le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles. En cela, ça apparente au « nouvel ordre mondial » que certains peuvent évoquer sous des contours plus «complotistes», un nouvel ordre mondial s’accompagnant d’une nouvelle “ gouvernance mondiale”, qui soit dit en passant est à l’œuvre sous nos yeux dans toute sa splendeur.

Comme le disait Benjamin Casteillo, l’ancienne société doit se séparer de ses fondements et de ses constructions (min 13,20 à 14,40) 

Mika : « Pourquoi cela arrive maintenant ? Pourquoi avec toute la science telle qu’on la connait aujourd’hui, toute la technologie que l’on a aujourd’hui, pourquoi cela émerge maintenant, c’est-à-dire ces quelques dernières années, voire quelques derniers mois, tout émerge d’un coup. Pourquoi maintenant ? »

Benjamin : « C’est justement parce que l’on a la science et la technologie nécessaire que cela arrive maintenant. On a eu besoin de faire des expériences auparavant, de créer une société basée sur la consommation, la croissance infinie, le consumérisme, qui a servi pour acquérir tous ces outils que tu décris. C’est comme une fusée qui se lance pour partir dans l’espace, elle utilise des compartiments, et le compartiment à un moment a été utilisé et doit s’en détacher. Et je pense que la société que l’on a créée ne peut-être soutenable de par la façon dont cela a été programmé.
C’est une étape d’évolution. Aujourd’hui, on est dans le contexte où l’on a des outils de communication, on a la technologie pour nous permettre, dans l’ère de la connaissance, d’apprendre les leçons dont on a besoin pour apprendre, et évoluer collectivement. Finalement, je pense que cela arrive au très bon moment. »

Ces crises doivent permettre une évolution humaine

Mika : « Pour toi puis pour les membres de new world  together, les effondrements qui peuvent apparaitre ou les crises qui apparaissent sont une aubaine pour l’humanité, ce qui va nous permettre de franchir des étapes de l’évolution humaine. »

Benjamin :  « C’est ça. C’est pour moi une étape d’évolution. Mais ce n’est pas une obligation. On a une opportunité d’évolution collective. La crise à laquelle on fait face nous demande de nous poser des questions sur nos modes de vie, sur nos fonctionnements individuels et collectifs, et nous permet d’offrir une évolution collective. Maintenant, est-ce que l’on va choisir l’évolution? Ceci reste une histoire à écrire. »

Ce qui est incroyable, c’est qu’alors que toutes les banques sont en faillite, alors que l’économie se meurt, alors que l’argent va disparaître, alors que les systèmes financiers actuels vont exploser en fumée, les Français épargnent de plus en plus depuis le début de cette crise, regardez cette courbe exponentielle…
EXTRAORDINAIRE

Ce sont les vieux réflexes des générations précédentes qui ont vécu la guerre qui s’ expriment ainsi en nous…

L’avenir de nos enfants est entre nos mains…

Aruna : Papa, c’est quoi mon avenir ?

Mika : Ton avenir sera celui que nous, adultes, déciderons, suivant nos actions. Soit nous continuons à vivre notre vie « as usual » et laissons des psychopathes décider de notre futur et donc du tien et celui de tes enfants, soit nous décidons tous ensemble de reprendre notre souveraineté et de faire passer notre petite vie du quotidien en arrière-plan, en mettant en avant le bien-être des générations futures.

Je suis prêt à être en 1ère ligne s’il le faut et je le dis ouvertement. S’il faut voyager de par le monde pour vivre dans  la bienveillance et la non-violence et surtout dans l’intelligence collective afin de nous permettre de changer de direction alors je peux le faire. Influencer les trajectoires de vie qu’une poignée de personnes a conçues pour nous, à notre insu, est faisable. Je suis prêt à mourir pour ma liberté et la liberté de nos enfants. Même si je sais qu’aujourd’hui beaucoup sont inconscients, hypnotisés et immatures, je crois en l’éveil de la conscience humaine qui n’en est qu’à ces balbutiements et en la théorie du centième singe : il suffit d’une poignée d’êtres humains éveillés pour changer le Monde !

Nous pouvons décider de notre futur !
Nous devons décider de notre futur !

Aruna : S’il vous plait, pensez à nous !

 

Mika Denissot

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